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Le film « Vaxxed » censuré au Parlement européen à Bruxelles
Ce film, qui remet la sûreté des vaccins en question, devait être projeté le 9 février au Parlement européen. « Vaxxed, from Cover-Up to Catastrophe » entendait faire le point sur une controverse désormais connue du public Américain: la falsification de données par le Center for Disease Control, instance médicale suprême aux Etats-Unis.
Le film « Waxxed » montre d’une façon claire le lien entre autisme et vaccination.
Lire la suite : http://www.bickel.fr/2017/02/la-projection-du-film-vaxxed-censure-au-parlement-europeen-a-bruxelles/
Une lectrice du Bulletin « Itinéraires de Santé »nous écrit au sujet des vaccinations
« Je ne vois pas du tout où sont les « excellentes nouvelles » car les vaccins non obligatoires deviendront obligatoires, donc ils resteront associés. C’est juste la formulation qui change, mais pas les faits. »
Réponse : Effectivement, mais il faut souligner le courage du Conseil d’État d’avoir pris la décision de n’imposer que les 3 obligations vaccinales (vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite – DTP). Les médias parlent du sujet, et les voix des patients commencent à être entendues… c’est aussi une avancée, alors continuez à signer la pétition en bas de page et à la faire signer autour de vous.
Nous vous proposons un article clair sur la situation, issu de la lettre de L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle « Victoire de la démocratie et de l’État de droit! » dans lequel il souligne que selon la décision du Conseil d’État n°397151 (http://www.conseil-etat.fr/Decisions-Avis-Publications/Decisions/Selection-des-decisions-faisant-l-objet-d-une-communication-particuliere/CE-8-fevrier-2017-M.-B) l’État dispose de six mois pour obliger les laboratoires pharmaceutiques à proposer un vaccin qui ne couvre que les trois maladies obligatoires : la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.
[…] mais les autorités pourraient forcer tout le monde à se faire vacciner contre les trois maladies prévues à l’heure actuelle, plus l’hépatite B, la coqueluche et l’influenzae B. […]
Il faut bien comprendre les grands enjeux liés à la décision du Conseil d’État. […] Après avoir nié l’existence du problème, avoir refusé d’en parler, avoir dénigré les requérants, avoir attaqué la réputation du professeur Henri Joyeux (saluons son courage !), les médias se sont finalement décidés à commenter ce problème qui touche l’ensemble des Français.
[…] La vérité est que, dans cette histoire, c’est votre détermination qui a fait la différence. C’est vous qui avez créé l’information.
Que les journalistes la dénigrent ou qu’ils la commentent ne change pas grand-chose. Cette affaire nous montre que si les médias sont utiles à l’industrie pharmaceutique, dont ils relaient les positions, ils ne servent aucunement la société civile.
Nous le savions. Mais cela se confirme un peu plus chaque jour : le 4e pouvoir existe, mais il est au service des puissants de ce monde.
En revanche, le Conseil d’État et le rapporteur en particulier ont montré leur compétence et leur indépendance. La séparation des pouvoirs (théorie développée par le philosophe Charles Louis de Montesquieu au 18e siècle) a été respectée dans cette affaire.
La justice, incarnée en l’espèce par le Conseil d’État, a sanctionné le gouvernement. Pouvoir judiciaire et pouvoir exécutif sont en concurrence pour permettre la protection des citoyens. C’est là un des principes fondamentaux des démocraties modernes. Le fait qu’il soit encore respecté est à souligner.
Que dit le Conseil d’État précisément ? Le Conseil d’État a posé un principe de base clair :
Les trois vaccins obligatoires en France doivent être disponibles sans association avec d’autres vaccins.
Il « enjoint au ministre chargé de la Santé de prendre des mesures pour rendre disponibles » les vaccins DTP sous cette seule forme.«
« La loi, qui n’impose que trois obligations de vaccination, implique nécessairement qu’il soit possible de s’y conformer en usant de vaccins qui ne contiennent que ces trois vaccinations« , a détaillé le Conseil d’Etat.
Le vaccin DT-P sera-t-il bientôt de retour dans les pharmacies ? Non.
Les laboratoires Sanofi Pasteur, principal fabricant de ces vaccins, ne produisent plus aucun vaccin isolé contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) depuis 2008. Ils ont déclaré à la presse hier (8 février) que le délai imposé par le Conseil d’Etat (six mois) est intenable : remettre massivement sur le marché un ancien produit demanderait minimum 18 mois.
Parmi les solutions discutées pour remédier à ce problème, une est particulièrement inquiétante : faire voter en urgence une loi pour rendre obligatoires également les vaccins présents dans le « supervaccin » hexavalent.
Ainsi mercredi 8 février, France-Info a-t-elle diffusé cette inquiétante information :
« Ce mercredi soir, l’Agence du Médicament a été saisie pour qu’un vaccin DTPolio soit remis sur le marché. Mais si les laboratoires pharmaceutiques refusent de le fabriquer, le gouvernement pourrait aussi changer la loi en passant de trois à six vaccins obligatoires. »[2]
Parer à toutes les possibilités : Ce scénario noir ne peut malheureusement pas être écarté.
Ainsi que nous l’avons expliqué à de nombreuses reprises, c’est la stratégie ouvertement conseillée par le rapport du « Comité d’orientation citoyenne sur la vaccination » rendu public le 30 novembre 2016, qui a préconisé de faire passer de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les nourrissons dans toute la France.[3]
Ce rapport préconise en outre de mettre à la charge de la collectivité les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt que par l’industrie pharmaceutique. (voir page 32 du rapport).
Ce rapport recommande en plus d’envisager le « changement de statut », c’est-à-dire de rendre obligatoire le très controversé vaccin contre la papillomavirus (contre le cancer du col de l’utérus), et même d’étendre la vaccination « aux jeunes garçons » ! (page 33 du rapport).
Enfin, il préconise « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble de ces recommandations » afin de « restaurer la confiance en la vaccination » (page 32 du rapport).
Pour réduire le risque d’un tel passage en force, dont les autorités sanitaires sont sans doute malheureusement capables, je vous invite à signer la pétition ci-jointe si vous ne l’avez pas encore fait :
http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php
Le centième singe
Une histoire à propos du changement social. Par Ken Keyes, Jr.
Une espèce de singe japonais, le macaque japonais ( macaca fuscata ) , a été observée à l’état sauvage sur une période de 30 ans.
En 1952, sur l’ile de Koshima, des scientifiques nourrissaient les singes avec des patates douces crues en les jetant sur le sable. Les singes aimaient le goût des patates douces, mais trouvaient leur saleté déplaisante.
Une femelle âgée de 18 mois appelée Imo pensait quelle pouvait solutionner le problème en lavant les patates dans un ruisseau tout près. Elle enseigna ce truc à sa mère. Leur compagnes de jeu apprirent aussi cette nouvelle façon de faire et l’enseignèrent aussi à leur mère.
Cette innovation culturelle fut graduellement adoptée par différents singes devant les yeux des scientifiques. Entre 1952 et 1958 tous les jeunes singes apprirent à laver les patates douces remplies de sable pour les rendre plus agréables au goût. Seulement les singes adultes qui imitèrent leurs enfants apprirent cette amélioration sociale. Les autres singes adultes conservèrent leur habitude de manger des patates douces sales.
Alors quelque chose d’étonnant se produisit. À l’automne de 1958, un certain nombre de singes de Koshima lavaient leurs patates douces — leur nombre exact demeure inconnu. Supposons que lorsque le soleil se leva un matin, il y avait 99 singes sur l’île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces. Supposons encore qu’un peu plus tard ce-matin là, le centième singe appris à laver les patates.
ALORS LA CHOSE ARRIVA !
Ce soir-là presque tous les singes de la tribu se mirent à laver les patates douces avant de les manger. L’énergie additionnelle de ce centième singe créa une sorte de percée scientifique !
Mais notez ceci : la chose la plus surprenante observée par ces scientifiques fut le fait que l’habitude de laver les patates douces fit alors un saut au-dessus de le mer… pour rejoindre des colonies de singes habitant d’autres îles ainsi que la troupe de singes de Takasakiyama sur le continent qui commencèrent aussi à laver leurs patates douces. C’est ainsi que le macaque japonais a été surnommé le « laveur de patates ».
Ainsi, quand un certain nombre critique d’individus accompli une prise de conscience, cette nouvelle prise de conscience peut être communiquée d’un esprit à un autre.
Bien que le nombre exact peut varier, ce « Phénomène du Centième Singe » signifie que lorsque seulement un nombre limité de gens apprend une nouvelle façon de faire, celle-ci peut devenir partie intégrante de la conscience de ces gens.
Cependant, à un moment donné, si seulement une personne de plus se met à adopter une nouvelle prise de conscience, son champ d’action s’étend de telle sorte que cette prise de conscience est adoptée par presque tout le monde !
Ce texte a été tiré du livre « Le Centième Singe » par Ken Keyes, Jr.
Ce livre est libre de droits d’auteur ( copyrights ) et le matériel peut être reproduit en tout ou en partie.
http://jph-metamorphose.pagesperso-orange.fr/HTML/ALPHABET/changement.html
Citations
Vidéo(s)
Une vidéo sur nos origines…
« Vous avez plus en commun avec le monde que ce que vous pensez.«
Cette phrase résume à la perfection la leçon de vie émouvante de Momondo. Au final, sous-estimer d’autres cultures c’est ne pas se respecter soi-même. C’est pourquoi, via un concours, Momondo invite à faire découvrir à ses internautes leurs multiples pays d’origine dans un voyage inoubliable à travers le monde.
Le film « Home » de Yann ARTHUS-BERTRAND
Ce film documentaire sorti en 2009, écrit et réalisé par Yann Arthus-Bertrand et produit par Luc Besson. Ce film de 90 minutes dans sa version courte et de 120 minutes dans sa version longue développe le lien qui unit l’homme à la Terre.
Ce film, en français et version longue, est proposé gratuitement en ligne à :
Les beautés sauvages de la Terre
9 min de bonheur à admirer les beautés sauvages de la terre, avant que l’Humanité grandissante, son progrès, ses utopies et son éternel besoin de croissance ne transforme la planète en un tas d’immondices…
BRAVO au cinéaste pour ce merveilleux documentaire …