« L’utilisation continue d’un mobile pendant 20 minutes fait augmenter la température des tissus en contact de 1°C. »
C’est alors le cortex, la partie la plus sensible du cerveau se trouvant à proximité de l’oreille, qui absorbe cette fluctuation thermique (…) L’émission par l’antenne d’ondes ultracourtes de très hautes fréquences est absorbée pour moitié par la tête de l’utilisateur.
D’après de nombreux spécialistes, il est possible, à terme, que l’ADN cellulaire soit lésé, ce qui provoquerait des tumeurs cancéreuses » (Doctissimo).
Personne ne semble plus réfuter que certaines ondes, comme celles des téléphones portables, puissent avoir une action néfaste sur notre santé.
Paradoxalement, peu de gens acceptent l’idée inverse : que certaines ondes puissent avoir un effet bénéfique sur notre organisme. Pourquoi cette contradiction ?
Les expériences et les techniques ne manquent pas qui nous prouvent le contraire. La plus simple consiste à mettre une chanson douce et à observer notre réaction… D’une façon plus poussée, certains utilisent le son des gongs, d’autres les bols tibétains.
Le biophysicien Fritz-Albert Popp, lui, a mis en évidence la communication via la lumière de nos cellules.
Dans tous les cas, le même propos : tout est fréquence, ou plutôt, comme le disait Albert Einstein : »Tout est énergie. »
Dans notre centre de Biot, nous utilisons la biorésonance — des fréquences électromagnétiques de faible intensité — pour rééquilibrer les flux énergétiques. Et encore, le terme « rééquilibrer » est un euphémisme. La loi interdit aux médecines alternatives d’user de certains mots : « soigner », « guérir », « santé »… Pourtant, que ce soit en émotionnel ou en corporel, dans bon nombre d’entre elles les résultats sont à la fois étonnants et encourageants. Assez pour que nous rêvions de pouvoir éveiller une certaine curiosité chez les médecins traditionnels.
En Allemagne, en Suisse, en Russie, en Chine, ils sont nombreux à s’être ouverts aux thérapies fondées sur les fréquences.
En France, on peine encore à reconnaître pas seulement la biorésonance, mais aussi la sophrologie, l’acupuncture, l’homéopathie, souvent sans même avoir la curiosité de les tester.
Étrange attitude que celle des certitudes. L’histoire nous a pourtant appris à nous méfier d’elles qui ont toujours retardé le progrès.
En ce qui me concerne, je ne pose ici qu’une question simple :
Y a-t-il des ondes nuisibles au corps humain ?
Si la réponse est affirmative, alors cela ne laisse pas place au doute : l’inverse peut être vrai.
Claude-Jean Lapostat – edito L »ère nouvelle – janvier 2019